Apparence physique :

Lorsque l'on regarde Archi aujourd'hui on a un peu de mal à le prendre au sérieux, et cela ne le dérange pas le moins du monde. De taille moyenne,il n'est vraiment pas très impressionnant, son style débrayé ne convient que trop bien à son caractère moqueur et acerbe. Lorsqu'elle n'est pas recouverte de suie et d'huile de moteur, sa peau est mate et si l'on prend exemple sur la terre d'il y a deux cent ans, il serait sûrement d'origine hispanique. Ses cheveux noir et bouclé lui retombe sur la nuque et dans les yeux, pour contrer cette attaque capillaire, il les tire en arrière a l'aide de grand lunette de soudure qui ne le quitte quasiment jamais et lorsqu'il les mets sur le nez, ça lui donne des aires de mouche géante. Son visage est assez délicat pour un garçon alors oubliez tout de suite la mâchoire carré et l'expression virile, et de toute manière le cuir-moustache n'est pas du tout son genre. Il aime dire qu'il est tout en finesse autant dans ses propos que dans son physique mais un homme ne reste qu'un homme et lui dire que sa virilité n'est pas au top nivaux pourrait probablement heurter son ego. Son style clodo est est peut être a revoir mais si il y a bien quelque chose qui attire le regard chez lui se sont ses yeux,brun de l'extérieur et vert près de l'iris. Et souvent les gens peu habitué a voir des hadicapés, fixe sa jambe de fer d'une facon fort peu adéquat mais cela ne le dérange pas. Bien entendu il bricole seul sa jambe mais celle ci a tendance a se coincer pour aucune raison apparente et ca dans les pires moments. Il n'a jamais une cette partie de son corp a cause d'une mal formation et ca jambe est un bijoux de chose recuperer ca et la. Enfin il a toujours cette agaçante expression, il vous semble qu'il se moque continuellement de vous ce qui fait que vous avez plus envie de le démembrer que d'admirer ses mirettes. Côté vestimentaire, il ne fait pas attention a ce qu'il porte se contentant généralement d'une chemise qui un jour avait été blanche et d'un vieux pantalon rapiécé de partout.

Aura :

Archi c'est le mec tout le temps a l'arrière, celui qui est invisible aux yeux de autres, celui-qui vous fait toujours rire mais dont ne vous retenez jamais le nom. Et pourtant c'est bien ceux qui en on le plus a dire que l'on écoute le moins. Mais si vous preniez la peine d'engager la conversation vous n'obtiendrez certainement pas grand chose d'autre que des blagues un peu salaces et beaucoup d’auto-dérision, notre mécano est très mal-à-l'aise avec autrui et plus particulièrement avec la gente féminine. Il préfère les machines, il ne peut pas retirer un mots mal choisis comme on dévisse un boulon, il ne peut pas réparer un cœur comme on répare un engin. Les humains sont des être fragile et complexe, la preuve on peut les briser avec des mots, et ce sans même les toucher. Ses amis de fer lui sont tellement familier, ils le rassurent, si une chose bloque, il peut les démonter pour en comprendre le fonctionnement, or si tu démonte un humains, il est pas sûr que tu puisse le remettre en état de marche après l'opération.. Mais il y a bien des gens à qu'il parle, me direz vous. Évidemment, ce jeune homme n'est pas complètement asociale, posez lui une question sur le Light House et il vous feras un exposé, de cela vous ressortirez fatigué, brumeux mais instruit. Jusqu'à la moelle. Il peut parler des heures entière de son vaisseau, il le qualifie comme l'amour de sa vie, personne ne connaît aussi bien son fonctionnement que lui. Archi est un génie de l'aéronautique spatiale, il est né avec un clé a molette dans les mains si on puis dire. Ses parents travaillaient déjà dans cette voie, et aujourd’hui il vous serait peut être difficile de le croire mais avant il détestait le Light House.

Quotidien :

La veille.
Un évènement important ne se passe pas dans l'atmosphère des films, pas d'éclats de tonnerres, de pluie torrentiel, ni de date spécial. Juste un nuit d'automne un peu fraîche et une journée de travail normal. Rien n'annonçait le changement qui adviendrait cette nuit, lorsque nous volerons le navire.
Dès que la décision sur l'utilisation du projet Light House avait été dévoilé au grand public, nous avons réagis, d'abord se fut les longues discussions entre le personnels du LH et le gouvernement. Puis les paperasseux n'avait plus rien voulu entendre et ils avaient osés exclure les plus proches scientifiques du projet. C'est là que nous avons pris notre décisions. Comment pouvions nous laisser le majestueux navire de la paix être utilisé pour asservir des peuples par la violence ? Il n'y a qu'un mot pour d'écrire ce que je ressentais ces jours où je devais écouter les discours qui ne parlaient que de domination : "affligeant". Alors c'est comme ça que tout a débuté.
On était pas préparé mais il fallait agir vite, nous savions que c'était risqué mais moi, comme tout les autres, ne pouvions laisser passer cette insulte.
Je crois qu'on c'est pas bien rendu compte sur le coup mais ce que nous avons fait est énorme, une nouvelle vie qui c'est déployer.
Un évènement si important devrait rester dans ma mémoire à jamais pourtant je ne me souviens que de brefs flashs. Je me souviens que j'ai fais tourné les machines comme je le faisais souvent pour tester le LT mais la ce n'était pas un exercice. Cette fois il fallait mettre le gigantesque vaisseau en orbite, et ça, je ne l'avais jamais fais, j'étais au milieu de la salle de commandes, j'avais l'avenir du LightHouse entre mes mains et j'étais planté comme un con au milieu de la salle ! Je crois que jamais de ma vie je n'avais été aussi désemparé, merde quoi ! Mettre le navire en orbite...Que fallait il faire déjà ? Les vérifications était faîtes, paré au décollage mais il me manquait la procédure. Mes mains tremblait tellement que ça me donnait la gerbe, appuyer sur tout les boutons n'était pas une bonne idée et même si j'arrivais a suivre un raisonnement logique, il me manquerait toujours une vis quelque part. C'est là. C'est là que j'ai entendu une voix, ouais je sais, on peut me traiter de fou mais si votre fessier est casé sur le bateau et pas en prison c'est grâce a cette voix. Je ne saurais, même aujourd'hui, dire d'où elle provenait, si elle était masculine ou féminine, ou même humaine mais elle ma indiqué quoi faire. Sur le coup j'ai pas réfléchis et j'ai obéis en essayant de me convaincre que c'est des souvenirs qui remontent à la surface. Sauf que, jamais je n'avais appris cette procédure, jamais. En plus les souvenirs ne me parle pas, en générale. Le reste redevient très floue dans ma tête, je me souviens que les militaires, ces chiens du gouvernement, ne nous on pas laisser faire et certain membres de notre petite révolution n'ont pas pu monter à bord. Nous nous sommes élancés vers les étoiles, vers la liberté, et ce n'est que là que j'ai remarqué que j'étais le seul de ma famille à bord. Sur le coup j'ai paniqué, ni ma mère, ni mon père n'avaient pu montés, ils étaient restés aux mains de la police, qu'allaient ils advenir d'eux ? Un goût amer m'avait monté a la bouche, seulement lorsque nous commencions a renouer les liens...
J'étais seul à nouveau, et cela je le ressens encore trop fort dans ma poitrine mais aujourd'hui je me console en me disant que je suis avec mon Light House. Les parents mon laissés le navire, il est de mon devoirs d'en prendre soin. Il est ma seul famille.