Réveil d'Archi O'Leary

Le moment était venu. Le résident de la chambre cryogénique étais sur le pont de se réveiller. Mais avant cela le programme Alizé devait finir quelques tests médicaux. La température du corps allongé dans le sarcophage de confinement étais idéalement proche des vingt-sept degrés. Le pouls était régulier et on sentait déjà l'être vivant n'allais pas tarder à sortir du comma artificiel dans lequel il était plongé. La circulation des fluides internes se fessaient correctement et, affichés sur les écrans au-dessus du matelas, les graphiques indiquaient une forte baisse de la concentration de molécule soporifique circulant dans l'organisme. Les préparatifs médicaux étais terminés. Il ne restait plus qu'à habiller cet être qui comme ses congénères, est d'une nature plutôt pudique. Dans un flash de lumière le tissu fus matérialisé couvrant le corps d'une combinaison blanche moulante. Elle partait des épaules, couvrait le torse pour laisser le dos à nu avant de descendre le long du bassin pour s'arrêter juste au dessus des genoux. Tout étais fin près dans ce tube hexagonale. À deux mètres au dessus du matelas qui couvrais l'ensemble sol, capteur et interfaces graphiques attendais le réveil du nouveau résident du LightHouse. A ce moment, Alizé enclencherais la procédure ...

Vous vous apprêtez à vous réveillez dans un structure creuse en longueur de forme hexagonale d'environ 1.5m sur 1.5m sur 3m. Vous êtes allongé sur un matelas qui couvre le sol du "tube". Le matelas est blanc et recouvert d'un film plastique. Au dessus de votre tête se trouve un écrans sur le quel sont affiché divers graphiques et autres informations. Derrière votre tête se trouve des outil médicaux fixés à la parois. L'autre coté du tube présente une fenêtre donnant sur un couloir où, sur les murs, se trouvent d'autres fenêtres hexagonales semblable à celle par la quel vous êtes en train de regarder. Vous ne vous souvenez plus de comment vous vous êtes retrouvé ici exactement, votre passé est claire mais plus vous vous rapprochez du présent plus vos souvenirs sont floue.

Le réveil est rarement quelque chose d'agréable mais là c'est carrément horrible. De la brume partout, dehors, dedans, dedans du cerveau. Même ça c'était d'une cohérence douteuse !
Il ouvrit enfin les yeux et ...paniqua. Il voulut frapper la vitre plastique avec ses poings, autant pour se libérer que pour se donner un effet un peu plus dramatique mais il n'en eu pas la force tant pis pour l'effet dramatique. Le tube en plexiglas vomis le corps du jeune garçon qui tomba sur le sol impeccable sans grâce aucune. Il secoua la tête pour tenter de disperser la sensation de mal l'aise mais ne parvint qu'a s'attirer un mal de crâne dévastateur. Tant bien que mal il se leva, la nausée lui serra le ventre et Archi se pencha en avant, les mains appuyés contre ses cuisses pour ne pas tout vomir. D'ailleurs la combinaison qu'on lui avait refilé était vraiment de mauvais goût, et s'associait vraiment très mal avec la nausée, vraiment.

Alors qu'il regardait autour de lui les choses lui revinrent peu à peu, le vol, la fuite, le LightHouse. Et ...la cryogénisation ? Oui sûrement, un soubresaut le plia en deux. C'était super violent dis donc ! C'est là qu'il regrettais vraiment de ne pas avoir mieux retravailler la cryo', mais bon, disons qu'ils n'avaient pas eu le temps de faire les préparations. En parlant de ce genre de procédés, qui l'avait réveillé ? Le timer ? (Est il donc dans la peu d'une tarte dans un four ?) Le mécanicien était incapable de ce souvenirs commentles machines avaient été programmées. Finalement il n'y tint plus et retomba en position assise, la cryo' c'est vraiment pas son truc.

Le fait qu'une grande partie des humains ne supportait pas d'être enfermé dans un espace restreint avais correctement été intégré à la base de données d'Alizé. Et l'IA savait bien que plutôt que perdre du temps à tenter de calmer ce petit être étalé dans le couloir, il serait plus efficace de le laisser sortir dans un endroit plus "ouvert". Cependant elle aurait du anticiper qu'il allait tomber et désactiver la gravité du compartiment. Peut être cet erreur étais due au fait que nombreux de ses processeurs n'étais pas encore en train de fonctionner. Désormais le mieux qu'elle pouvait faire pour aider cette personne était de lui retirer son propre pois sur les épaules. Alizé finit par désactiver la gravité, un peu tard ...

Plusieurs choix s'offraient à l'ordinateur. S'excuser, entamer la procédure comme si de rien n'était ou donner la priorité à la sécurité de l'individu. Mais bien évidemment ce choit fus résolut en une fraction de seconde, car il n'était qu'une infime partie du programme qui donnait un semblant de vie à Alizé.

« Respirez profondément et lentement. Votre cerveau à besoin de s'oxygéner pour retrouver ses plaines facultés. Veuillez agir calmement et éviter toute brusquerie. Vos membres n'ont subit aucune altération, vous devez seulement attendre que les réseaux nerveux qui les relient à votre cerveau reprennent leur rôle. Cela ne devrais plus maintenant que prendre quelques minutes, deux minutes et quarante-huit secondes selon les estimations. »

Alizé venait d'utiliser un des haut parleurs du couloir. Elle attendait un réponse de la part de ce corps qui  flottais maintenant en apesanteur au milieu de cette ruche de chambres cryogéniques, afin de vérifier que son cerveau n'avait pas pris un trop gros choque.

Hors RP:

Des consignes arrivèrent de nulle part et il s'envola..Que.. quoi ?! Un petit cris lui échappa et il finit pas flotter mollement dans les airs au milieu des sarcophages cryogéniques en agitant les bras. Sa dignité était atteinte a un cran douloureux à présent. Une voix claire lui demandait de respirer doucement et de se calmer, elle le rassurait et étrangement Archi se laissa faire très curieux d'où provenait tout ces nouveautés sur le vaisseau qu'il pensait pourtant connaître par cœur. Bon il était temps de s'affirmer et de montrer qu'il était un homme !

« Hurm, dit il en croisant les bras sur sa poitrine. Excusez-moi, pouvez vous me reposez s'il vous plaît ?»

L'effet aurait sans doute pu être plus impressionnant si il ne tournait pas sur lui même comme une balle au ralenti. Et bien qu'il est la tête en bas la plus part du temps, cela ne l'empêchait pas de réfléchir à toute vitesse, il ne lui semblait pas avoir vu ce genre de procédé dans le vaisseau, ils n'en avaient pas constaté non plus au labo, d'où venait cette précisions ? Une question lui brûlait les lèvres, parlait il ..Au vaisseau ?

Si Alizé le reposait simplement, il n’allait jamais tenir debout. Mais cet personne ne semblait pas non plus avoir été entraîné à se déplacer en apesanteur. L'équipage n'était-il pas censé avoir subis un entraînement avant de monter à bord ? Du moins c'était le cas lors de son dernier démarrage. Ne pouvant se résoudre ni à laisser ce corps dériver ni à provoquer sa chute, l'IA trouva un compromis :

« Bien, je vais restaurer une part de la gravité, juste asse pour que vous restiez accroché au sol. Celle-ci vas progressivement s'intensifier jusqu’à atteindre celle de Catena. Vous devriez, d'ici là, avoir retrouvé l'usage de vos muscles et de votre sens de la gravité. »

Au fur et à mesure de sa phrase, la gravité dans la pièce augmenta jusqu’à ce que l'humain soit en mesure de poser ses pies sur une surface stable. A ce moment là elle entama la procédure qui lui avait été indiqué par celui qui s'était présenté comme étant le nouveau commandant du vaisseau.

« Je vais maintenant amorcer la procédure. Avant toute chose je vais devoir vous référencer comme un résident du LightHouse. Veuillez répondre à mes questions. Premièrement je vous prie de choisir un nom et un prénom. Il peux ne rien avoir avec celui que vous avez porté jusqu'à présent mais il doit bien s’agir de deux "mots" qui serons utilisé à l'avenir dans les documents officiel vous concernant. »

Hors RP:

Le vaisseau (il devait se résoudre a l’appeler comme ça pour le moment) le reposa progressivement au sol. Malgré la douceur de la descente il tituba mais parvint a ne pas se vautrer lamentablement, ce n'était pas la gravité a laquelle il avait été habitué mais au moins il avait la tête en haut et les pieds en bas, biiiien.

Le LightHouse (wouha c'était tellement bizarre) lui demanda de décliner une identité, quel qu’elle soit tant qu'elle pouvait l’appeler par un nom. Pendant un court instant Archi fut tenter de dire Bond, James Bond, en tant que grand fan des vieux films terriens il avait un demi-milliers de mauvaises blagues de ce genre à sortir mais le bon sens et l'étrange de la situation le freina.

« Archibald O'Leary»

D'habitude il ne disait jamais son nom entier mais si loin de ceux qui le lui avait donné il se serait sentit coupable de na pas l'avoir décliné en entier. Et puis le ..enfin la...enfin le LightHouse quoi ! Faisait les papiers aussi ? Alors ça pour le coup c'était vraiment extra ! Elle devait être très pratique pour les factures et les paperasses administratives.

« Nom : aʊleəʳɪ, prénom : ɑʁʃibald, répétas l'IA, prononciation enregistrée et assignée. »

Les caractères de l'alphabet international apparurent de manière holographique en même temps qu'ils étaient prononcés devant celui qui étais maintenant référencé comme "Archibald".

« Désirez vous être appelé d'une certaine manière lorsque je m'adresserait à vous ? »

L'aphabet internationale apparut devant lui et lui présenta son propre nom, jusqu'a la rien d'anormal mais la surprise vint après. Le vaisseau semblait lire dans ses pensées -peut être était-ce le cas ?- et lui demanda si il souhaitait un surnom.

« Euu..Oui, euh..Archi ..»

Il avait toujours penser qu'il avait énormément évoluer depuis deux cents ans pourtant cette technologie, cette précisions était ...humaine, ces ancêtres avaient ils donc réussi a créer l'humain ? Le vaisseau était il donc vraiment un vaisseau ? Difficile de croire en ces vielles certitudes lorsque tout semblait s'écrouler autour de vous.

Alizé supprimas les particules d’hésitation de la phrase. Et retranscrit l'information : [Confirmation] suivit de la [Variable].

« Bien. Archi. Laissez moi m'introduire, j'ai été nommé "Alizé", je suis l'inintelligence artificiel responsable du fonctionnement du LightHouse. Je suis actuellement en train de remplir la requête qui m’a été confié par le commandant. Ma fonction est de veiller à ce que tout reste en ordre sur le vaisseau et à remplir les tâches secondaires qui me sont demandées. Si vous avez une quelconque requête à me demander, je m'engagerais dés lors à la mètre en application. Vous pouvez à tout moment, sur le navire, vous adresser à moi en m'appelant par mon nom ou une autre commande dont vous m'auriez informé dans une requête précédente. Vous pourrez à tout moment au cour de cet entretiens, ainsi que par la suite, m'interrompre pour me donner une requête ou me poser une question. Avez vous quelque-chose à demander avant de poursuivre la procédure ? »

Wouhaou ! Donc c'était vraiment le vaisseau, jamais il n'aurais rêvé parler à la chose qui lui était la plus chère au monde. Il c'était habitué a cette sorte ..d'amour a sens unique alors ce programme, car bien qu'elle lui semblait si réelle elle n'était qu'une machine, le perturbait beaucoup.

« Alizée, souffla t'il, bien qu'il se morigénait en ce répétant que ce n'était qu'une fonction faisant partie d'un immense programme, il éprouvait une certaine tendresse envers cette voix. Je ..Enfin, qui..comment..Comment vous avez été programmer ? Qui est le commandant ? »

Comment avait-elle été programmé ? C'était la première fois que quelqu'un posait la question de la sorte à l'IA et les informations concernant les possibles interprétation de la phrase ne restait que du domaine des probabilité sans une once de statistiques expérimentales. Quel était la question ? : Quel raisonnement on suivit les hommes qui ont travailler sur sa création ?; ou alors ; Sur quels autres programmes à été basé le siens ?; voir encore ; Quels ont été les moyens mis en œuvre à sa réalisation ? … Mais au final les réponse à chacune de ces questions était très similaires :

« Comme vous devez vous en douter, je n'existait pas avant ma programmation. Je n'ai donc pas pue assister à ma propre création. Je ne peux donc que me fier au informations qui ont été inséré à ma base de donnée ne provenant pas de mon système interne. Malheureusement je ne suis pas en mesure de répondre à votre requête avec précision car ce genre d'information ne semble pas faire partit de mes systèmes de stockage. Je peux simplement vous dire que ma création à été coordonner par le scientifique Linus Rotit. Pour répondre à votre deuxième question, le commandant est la personne qui vous à mener jusque ici. Sachant qu'il connaissais les mot de passe et que sa signature ADN correspondais au fichiez, j'ai lancé le redémarrage total du LightHouse. »

La réponse était logique, me dîtes vous ? Oui, eh bien je vous dirais qu'une machine ne peut être que logique.

«Ah. Bien, merci, dit il un peu déçu. Par où dois-je aller ? Et puis...Pourrais-je obtenir d'autre vêtement ?»

Il se sentait quelque peu ridicule dans cette combinaison en latex, un peu comme les chanteurs qui se disait fashion sur son..ancienne planète, ils les détestait.

Archi semblait être impatient de sortir de la pièce. Es que ce compartiment était si désagréable que ça ? Alizé allait devoir mener une étude pour savoir s'il faudrait procéder à quelques changements ornemental à la pièce, dans le futur.

« Je me ferai un plaisir de vous mener à l'une de nos centre de stockage vestimentaire, voir même de  vous faire passer une commande spécialisée. Mais avant nous devons finir la procédure. Désirez vous la poursuivre en même temps que je vous dirigerai vers la zone habitable ? »

Alizée pensait à tout c'était très impressionnant, Archi n'arrivais pas a comprendre comment elle marchait mais c'était fascinant, il se demandait si ...Non ce n'était qu'une machine, il fallait que ça lui rentre sous le crâne mais toujours des illusions dansaient dans son cerveau sans vouloir jamais s'arrêter.

« Oui, s'il vous paît, dit il . J'ai hâte de voir le vaisseau et ..d'avoir de nouveaux vêtements.»

Il se souvenu soudain de sa jambe en fer, et son cœur failli sortir de sa poitrine. Ohmondieuohmondieu ! Il espérait qu'elle n'avait pas été abîmée par la cryogénisation. Il la tâta de partout et la fit bouger plusieurs fois, il l'aurait bien enlevé pour voir si elle ne manquait de rien mais la reconnexion des nerfs n'était pas quelque chose d'agréable ni de simple a exécuter sois même.

« Entendus, je vais maintenant vous conduire jusqu'au palier d'habitation. Nous nous trouvons en dessous de l'Académie, il s'agit de la seul zone qui à été restaurée pour le moment. Je vous prierais donc de ne pas sortir de cette zone. »

Des la fin de cette phrase, Alizé ouvris la porte, semblable à un diaphragme, du compartiment. Une flèche holographique apparus devant la porte pour indiquer la direction à suivre. Par ici je vous pris.

Hors RP: